L’affaire Renault passe du volet espionnage à celui des polémiques. Le manque de professionnalisme de la direction dans la gestion de ce dossier, les excuses un peu piteuses de Carlos Ghosn, et l’absence de démission, laissent un goût bizarre. L’affaire n’est pas terminée et pose encore beaucoup de questions. Revue sur quatre d’entre elles.