Les protéines des maladies neurodégénératives, telles que Parkinson, Alzheimer et le syndrome d'Huntington, ont une unité structurelle commune. C'est ce que viennent de découvrir Andrey Kajava, chercheur au Centre de recherche biochimie macromoléculaire (CNRS/Universités Montpellier 1 et 2), en collaboration avec deux scientifiques du National Institute of Health (Etats-Unis). Ce point commun devrait permettre de mieux diagnostiquer le risque de développer ces maladies mais aussi de concevoir des inhibiteurs à but thérapeutique.