Aujourd’hui s’ouvre l’examen au Sénat du projet de loi dit de Nouvelle organisation du marché de l’électricité (NOME), qui va obliger EDF à céder une partie de sa production nucléaire à ses concurrents, conformément aux engagements européens de la France. Trois points vont faire l’objet d’un lobby intense de la part des fournisseurs alternatifs.