L’agence de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) estime qu’il n’y a pas à ce jour de « base scientifique suffisante » pour une réévaluation de la dose journalière admissible (DJA) de l’aspartame, mais va mettre en place un groupe de travail pour évaluer ses « bénéfices et risques nutritionnels ».