La gestion intensive des sols laisse l’Europe sans puits de carbone

Une étude internationale associant des chercheurs du Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (CEA, CNRS et Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ)) montre que le pourcentage des émissions anthropiques de CO2 stocké par les prairies et les forêts européennes est compensé par les sources d’autres gaz à effet de serre issues de la gestion des sols et des pratiques agricoles. La diminution de ces dernières apparaît donc comme une priorité dans la lutte contre le réchauffement climatique. Ces résultats ont été publiés en ligne par la revue Nature Geoscience le 22 novembre 2009.

Author: Rédaction