Demain matin, Jean-Pierre prendra sa décision. Celle de continuer jusqu’aux Sables, ou celle de se mettre à l’abri en attendant une ouverture plus favorable pour traverser le golfe de Gascogne et atteindre la ligne d’arrivée. Car, dès vendredi matin, une grosse dépression pointe le bout de son nez au large de la Vendée, avec au menu des conditions explosives : 40 noeuds de vent et des creux de 5 mètres. Le skipper de Virbac Paprec 3 travaille en ce moment sur toutes les données météo pour « se jeter à l’eau… ou pas ».