Les droits de l’homme ne doivent pas être sacrifiés en période de crise économique ni au moment de la reprise et les Etats sont tenus de les respecter et les protéger même si leurs ressources sont limitées, affirme l’Experte indépendante des Nations Unies sur les droits de l’homme et l’extrême pauvreté, Magdalena Sepulveda.