Suite à la fermeture, la semaine dernière, du camp de déplacés situé dans l'enceinte du Stade Sylvio Cator, à Port-au-Prince, dans lequel vivaient plus de 400 familles, la Section des Droits de l'Homme de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH) représentant du Bureau du Haut Commissariat aux Droits de l'Homme (HCDH) en Haïti, a réitéré jeudi l'importance du respect du droit de tous les haïtiens à un logement convenable, particulièrement s'agissant des personnes vivant dans les camps qui se sont formés après le séisme et dans les communautés informelles - parfois appelées bidonvilles.