La facturation « hors forfait » la nouvelle vache à lait des telecoms.
Il y a toujours des communications dites « hors forfait » dans la facture menselle des mobiles forfaitisés dits économiques. Restons Zen.
Or, par la suite d’erreurs, les consommateurs n’ont pas toujours conscience de celles-ci, lors, de la manipulation du téléphone, surtout les personnes avancées en âge ou tout simplement distraites un court moment.
L’age ou le manque de concentration, voire l’inconfort de la frappe, est donc puni, par la surtaxe. ce qui n’a rien d’éthique.
Il devrait être possible à tout consommateur qui désire maîtriser son budget et ses consommations, de pouvoir bloquer des fonctions à la demande, de les oblitérer. Ces « ventes forcées » – car il s’agit bien de cela, dès lors que la personne ne se rend pas bien compte du fait, sont destinées à augmenter la facture, en laissant croire, que le consommateur a volontairement consommé. Alors pourquoi, ne pas prendre dans le forfait, le crédit à utiliser, plutôt que de surtaxer.
Il est grand temps d’arrêter ces abus flagrants et de permettre à chacune et chacun d’éradiquer ces consommations « hors forfait », soit depuis le panneau Espace client internet, et/ou depuis une fonction du téléphone, soit par appel à un opérateur vocal humain, soit par automate depuis le portable.
Ces fonctions de blocage – sans exhaustive – sources de profits pour les telecoms, consomment du « hors fortait :
- Naviguer sur Internet,
- Download (pourquoi n’est-ce pas traduit ?)
- Autres Sonneries
- Autres Jeux
- Autres Musiques
- Autres Vidéos
- etc.
Ces pièges à la consommation sur les téléphones mobiles sont en cours de dénonciation à la DGCCRF, car ils constituent une forme sournoise d’abus de tout public et circonstances aggravantes, envers les personnes âgées, malvoyantes, parkinsoniennes. Le droit à l’erreur ou le droit à s’auto-gérer, doit pouvoir être au profit du consommateur, s’empêchant d’aller là où son budget sera pris en otage par une surtaxe abusive. Ce serait un peu comme demander à s’interdire de Casino.
Les télécoms connaissent bien le phénomène et en profitent, se gardant bien d’en faire état. Vue la faible durée de ce type d’appel ou au contraire la trop longue durée de ceux-ci sans navigation, il est aisé de comprendre qu’il s’agit d’erreur.
Avec les 58 millions d’abonnés au téléphone mobile en France au 31 décembre 2008, le calcul est vite fait et les enjeux restent loin d’être insignifiants.
Aussi pour éviter des contre argumentaires sans fin, le mieux sera de permettre à tout un chacun de s’auto-empêcher de consommer, celà évitera bien des abus et sera juste et équitable.
D’après témoignages.