L’organisation écologiste Greenpeace a lancé l’alerte, lundi 25 juillet. Cible de ses critiques : la sûreté du futur réacteur nucléaire de troisième génération, l’EPR, en cas de coupure prolongée de l’alimentation électrique. Une situation qui s’était notamment produite à la centrale de Fukushima, à la suite du séisme et du tsunami du 11 mars.