Echange de bons procédés entre les géants de l’énergie EDF et E.ON dans le cadre de la libéralisation du marché énergétique européen. L’Allemand atteint les 100 % du capital de sa filiale hexagonale SNET (Société nationale d’électricité et de thermique), en acquérant les 18,75 % d’EDF et les 16,25 % de Charbonnages de France (établissement public en liquidation depuis janvier 2008). Deux transactions payées en numéraire pour des montants non révélés.