« Je ne vais pas dire sur quel bord je navigue, je préfère garder ça pour moi en ce moment car la situation est intense d'un point de vue stratégique.
La mer est toujours courte et hachée, et ça tape toujours assez fort, bien que moins qu’hier. J’ai pu récupérer cette nuit, et reprendre des forces. La température est nettement remontée, et c’est une vraie étuve à l’intérieur du voilier.
Le voilier est totalement matossé, et il navigue au maximum de son potentiel. Lorsque je déciderai de virer de bord, il faudra déplacer 500 kilos de matériel d’un bord sur l’autre. Pas de problème : on commence à avoir l’habitude… »