«Nous ne pouvons pas continuer à égrener la litanie des violations et abus commis en Syrie, alors que l’effet sur les parties à l’intérieur du pays et celles qui manuvrent en coulisses est aussi réduit. Il ne suffit pas d’être révolté », a déclaré lundi devant l’Assemblée générale le Président de la Commission internationale d’enquête sur la Syrie, Paulo Sérgio Pinheiro.