En mangeant des cadavres d’animaux non pris en charge par le service d’équarrissage et donc laissés dans la nature, les rapaces et autres animaux nécrophages peuvent accidentellement être exposés à des médicaments vétérinaires. Certains anti-inflammatoires et barbituriques sont particulièrement à risque. L’Agence nationale du médicament vétérinaire (ANMV) appelle les vétérinaires et les éleveurs à prendre toutes les précautions requises lorsque ces médicaments sont administrés à des animaux susceptibles d’être consommés par des animaux nécrophages après leur mort.