Tout un chacun est focalisé sur la variation des écarts entre François Gabart et Armel Le Cléac’h. Les deux hommes de tête ont fini par nous habituer à des distances de parfois moins de dix milles entre les deux concurrents. Du même coup, cent milles peuvent paraître un monde. Mais à près de vingt nœuds, comme l’arrivée sur les Sables d’Olonne peut offrir les conditions propices, ce sont moins de six heures de différence.