A la lutte pour la cinquième place avec SynerCiel, Gamesa, Mirabaud et ACCIONA 100% EcoPowered, Arnaud Boissières a choisi l’option ouest, le long des côtes brésiliennes. Mais la complexité de la situation dans cette remontée de l’Atlantique rend la suite très indécise : « Rassurez-vous, je ne suis pas parti faire la fête au Brésil. Depuis le petit matin, c’est reparti avec pas mal de manœuvres. Je suis engagé là-dedans alors je compose avec ce que j’ai en essayant de faire le moins d’erreurs possibles mais c’est très complexe. Je suis de l’autre côté de la dorsale par rapport à Mirabaud. Lui (ndlr : Dominique Wavre), il est au près et moi je suis au portant sous gennaker. Depuis le petit matin à l’Est, c’est de moins en moins beau mais c’est vraiment loin. Je trouve que leur décalage est très important en longitude. La seule chose qui est réellement sûre en ce moment, c’est que tout est incertain mais je suis assez satisfait de la tournure que ça prend car je fais route vers la sortie, certes pas très vite mais je devrais accélérer un petit peu dans les prochaines heures. De toute façon maintenant que j’y suis j’y vais à fond. Les conditions le long du Brésil sont super aléatoires donc c’est difficile de dire comment ça va se passer. Une fois que tu es engagé dans ce genre tunnel, il ne faut pas penser à reculer. Là ça se passe pas mal depuis le lever du jour donc on verra. J’ai vu des dauphins ce matin. C’est peut-être un bon présage. J’ai retouché du vent en début d’après-midi comme les prévisions l’indiquent. Si ça passe, ça peut être bon. »
A la lutte pour la cinquième place avec SynerCiel, Gamesa, Mirabaud et ACCIONA 100% EcoPowered, Arnaud Boissières a choisi l’option ouest, le long des côtes brésiliennes. Mais la complexité de la situation dans cette remontée de l’Atlantique rend la suite très indécise : « Rassurez-vous, je ne suis pas parti faire la fête au Brésil. Depuis le petit matin, c’est reparti avec pas mal de manœuvres. Je suis engagé là-dedans alors je compose avec ce que j’ai en essayant de faire le moins d’erreurs possibles mais c’est très complexe. Je suis de l’autre côté de la dorsale par rapport à Mirabaud. Lui (ndlr : Dominique Wavre), il est au près et moi je suis au portant sous gennaker. Depuis le petit matin à l’Est, c’est de moins en moins beau mais c’est vraiment loin. Je trouve que leur décalage est très important en longitude. La seule chose qui est réellement sûre en ce moment, c’est que tout est incertain mais je suis assez satisfait de la tournure que ça prend car je fais route vers la sortie, certes pas très vite mais je devrais accélérer un petit peu dans les prochaines heures. De toute façon maintenant que j’y suis j’y vais à fond. Les conditions le long du Brésil sont super aléatoires donc c’est difficile de dire comment ça va se passer. Une fois que tu es engagé dans ce genre tunnel, il ne faut pas penser à reculer. Là ça se passe pas mal depuis le lever du jour donc on verra. J’ai vu des dauphins ce matin. C’est peut-être un bon présage. J’ai retouché du vent en début d’après-midi comme les prévisions l’indiquent. Si ça passe, ça peut être bon. »
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