Je viens de descendre du mât. Ça a été compliqué de monter avec presque 30 nœuds de vent et une mer formée, ça bouge beaucoup là-haut, j'ai dû vraiment faire attention. J'ai pu libérer le mât de la chaussette et du reste du spi. A cause des difficiles conditions de travail, j'ai dû laisser la poulie de drisse de tête en haut. Il me reste donc seulement la drisse de capelage.
Le taquet du circuit du safran tribord a sauté mais j'ai pu baisser sa lame. J'ai mis deux heures pour monter et descendre du mât.
Moi je vais bien, j'ai cogné un peu partout en montant et en descendant mais je ne suis pas blessé.
J'ai repris le cap.
Alessandro
