Face notamment à la croissante concurrence des génériques et pour sauvegarder sa rentabilité, le groupe pharmaceutique britannique a lancé en janvier un plan de restructuration qui prévoit la suppression de 10 400 postes (sur 65 000) à l’horizon 2014. La stratégie consiste à travailler sur un nombre plus limité de pathologies et à regrouper les activités en fusionnant certaines recherches. Rien qu’en R&D, près de 1 800 postes devraient être supprimés et certaines unités fermées.