Rien de changé ! Telle est la position du groupe Bouygues et de sa filiale à 30% Alstom au sujet de leur participation à la recomposition éventuelle du nucléaire français et de l’évolution du tour de table du groupe Areva. Interrogé à l’occasion de la présentation de ses résultats ce matin à Paris, Martin Bouygues a indiqué qu’il n’avait pas été entendu dans le cadre du rapport préparé par François Roussely au sujet de l’avenir du nucléaire.