Alors que la criminalité liée aux espèces sauvages est une industrie en croissance rapide, générant d’énormes profits pour les réseaux criminels, des responsables de haut niveau des Nations Unies ont souligné lundi à Doha, au Qatar, la gravité de ce fléau qui alimente la violence, corrompt les chaînes d’approvisionnement et fragilise l’état de droit.