En dépit des progrès réalisés ces dernières années en faveur de l’abolition universelle de la peine de mort, trop souvent dans la pratique, cette dernière s’applique plus aux petits délinquants pauvres et marginalisés qu’aux puissants parrains du trafic de drogues, a déploré le Sous-Secrétaire général des Nations Unies aux droits de l’homme, Ivan Simonovic.