En démontrant l’homogénéité de la répartition l’isotope 26 de l’aluminium à la naissance du système solaire, les chercheurs du Centre de recherche pétrographiques et géochimiques du CNRS-INSU ont validé l’usage d’un chronomètre isotopique permettant de mesurer la vitesse de formation du système solaire. Ces travaux sont publiés dans la revue Science du 21 août 2009.