Le Président de la Commission internationale chargée d’enquêter sur les violations des droits de l’homme en République centrafricaine, Bernard Acho Muna, a prévenu lundi que la diffusion d’un discours de haine et l’effondrement de l’ordre public dans le pays sont d’éventuels précurseurs de graves violations des droits de l’homme, y compris le génocide.