Malgré la perte de sa quille, Jean-Pierre Dick continue sa remontée périlleuse de l’Atlantique. Le skipper niçois tente de positiver même s’il sait que la suite de course ne tient qu’à un fil : « Pour l'instant je sens bien le bateau. Les nuits commencent à être longues, environ 12h. J'en profite pour me reposer. J'ai eu un grain ou deux cette nuit, j'ai réduit la voilure. Cela s'est bien passé. Je travaille bien sur l'équilibre de Virbac-Paprec 3 avec les ballasts et le matossage de mes sacs et des voiles à bord. J'étudie les meilleurs scénarios possibles à la table à cartes pour la sécurité du marin et du bateau. »