Quelques minutes après les manœuvres, avec mes mains aux cotes et avec la baisse des pics de douleur, j’ai pu hisser toute la grand voile (bien sûr très très lentement et avec beaucoup de pauses).
Je l’ai aussi fait pour stabiliser le bateau car il souffrait trop la vague et parce que je me sens en mesure de réduire la toile envoyée si besoin, prendre des ris.
Pas question pour le moment d’envoyer le petit gennaker car ça demande de la rapidité, de l’effort et des mouvements amples, surtout si je dois le rouler et l’affaler, ce n’est pas prudent d’essayer.
Je crois avoir besoin de repos, j’ai repris cap et vitesse.
Mieux à bord
Alessandro Di Benedetto/Team Plastique