Le Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) a besoin du soutien du Conseil de sécurité pour conserver son personnel et assurer l’exécution des peines, au risque de cumuler les retards dans l’exécution de ses tâches, a expliqué le Président du Tribunal, le juge Patrick Robinson, lors de la présentation de son rapport sur les travaux du Tribunal, lundi, au Conseil de sécurité des Nations Unies.