Patrick Pélata n’a donc pas résisté à l’affaire dite « d’espionnage » au sein du groupe Renault. A l’issue d’un audit et du conseil d’administration du 11 avril, le numéro deux du constructeur a démissionné. Pour autant, il n’abandonne pas l’Alliance Renault-Nissan, dans laquelle il devra se faire une nouvelle place.