Après Renault, c’est au tour du groupe aéronautique Safran d’être au centre d’une opération d’espionnage industriel. Selon une source interne de l’équipementier aéronautique, c’est bien le groupe Safran en tant que tel, et non sa filiale Turbomeca, qui a été victime d’une intrusion informatique dans le courant de l’année dernière.