Selon les informations de l’hebdomadaire L’Express, une réunion de crise s’est tenue, le 14 février dernier, dans le bureau du directeur juridique de Renault. L’objet de la conversation : les preuves du pseudo dossier d’espionnage incriminant trois cadres de l’entreprise. Morceaux choisis de cet incroyable dialogue, dont L’Express s’est procuré un enregistrement.