Le gouvernement de centre-gauche va débloquer 8,5 milliards d’euros en faveur d’un soutien à la croissance. Habituellement propulsée par les exportations, l’économie japonaise est sabotée par la cherté de la devise nationale qui pénalise les ventes à l’étranger des entreprises. Un cercle vicieux, puisque le yen s’avère une valeur refuge.