Grippe A : les Français qui le souhaitent pourront être vaccinés. C’est bien.
Mais que se cache-t-il sous une telle assertion ? Si l’on comprend bien, le plan de combat contre ce virus pouvant générer une pandémie capable d’atteindre un français sur trois pandémique, s’exécute sur la base du volontariat ?
La vérité est ailleurs. Devant les problèmes de risques de séquelles, d’ignorance sur l’impact d’un vaccin nouveau mis sur le marcghé en catastrophe, la vraie raison est la couverture du risque. Non pas celui de la propagation de la grippe A, mais celle du risque juridique que le gouvernement pourrait prendre en cas de plan obligatoire et sectoriel, même hierarchisé.
Cela est déjà arrivé avec le vaccin contre l’hépatite en France…
Ainsi, pour la Grippe A, les personnes qui se porteront volontaires, prendront seule le risque, puisque l’opération de vacciner n’est pas obligatoire. Autrement dit, il n’est pas obligatoire de combattre la pandémie. Si pandémie, il y a, seules les personnes qui ne seront pas portées volontaires seront responsables de la pandémie, les personnes vaccinées, à qui il n’arrivera sans doute rien seront sauves, les autres aurons des problèmes dont elles seront aussi seules responsables…