Étiquette : Edouard Philippe
Qui était Augustin Trébuchon, dernier poilu mort au combat ?
26 octobre 2018 – ActualitéQui était Augustin Trébuchon, dernier poilu mort au combat ?
Lors de la commémoration du Centenaire de la Première guerre mondiale, le 26 octobre 2018, le Premier ministre, …
Qui était Augustin Trébuchon, dernier poilu mort au combat ?
26 octobre 2018 – ActualitéQui était Augustin Trébuchon, dernier poilu mort au combat ?
Lors de la commémoration du Centenaire de la Première guerre mondiale, le 26 octobre 2018, le Premier ministre, …
Qui était Augustin Trébuchon, dernier poilu mort au combat ?
26 octobre 2018 – ActualitéQui était Augustin Trébuchon, dernier poilu mort au combat ?
Lors de la commémoration du Centenaire de la Première guerre mondiale, le 26 octobre 2018, le Premier ministre, …
Qui était Augustin Trébuchon, dernier poilu mort au combat ?
26 octobre 2018 – ActualitéQui était Augustin Trébuchon, dernier poilu mort au combat ?
Lors de la commémoration du Centenaire de la Première guerre mondiale, le 26 octobre 2018, le Premier ministre, …
Vers une simplification de la fiscalité pour les Français de l’étranger
Vers une simplification de la fiscalité pour les Français de l’étranger
En effet, actuellement, la Contribution sociale généralisée (CSG) et la Contribution à la réduction de la dette sociale (CRDS) sont payés par les Français à l’étranger. Ces impôts permettent de financer la protection sociale. Or, les expatriés n’en bénéficient pas puisqu’ils sont affiliés au régime de protection sociale de l’État où ils résident.
La CSG et la CRDS suppriméEs pour les Français à l’étranger
Le 17 octobre 2018, le ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, a annoncé une série de mesures pour transformer leur imposition.
- Suppression de la CSG et la CRDS pour “les personnes qui ne relèvent pas de la Sécurité sociale en France mais d’un régime de Sécurité sociale d’un autre État membre de l’Union européenne, de l’espace économique européen ou de Suisse”, a-t-il expliqué devant l’Assemblée nationale.
- Remplacement du mécanisme de retenue à la source libératoire sur les revenus de source française par le prélèvement à la source.
- De même, plusieurs dispositifs d’abattement fiscal, comme le dispositif Pinel, qui octroie des réductions d’impôt en cas d’acquisition d’un bien immobilier, seront étendus aux expatriés.
Ces mesures annoncées viennent rééquilibrer une inégalité devant l’impôt. Pourquoi refondre la fiscalité des Français expatriés ?
Ces mesures s’inspirent du rapport “La mobilité internationale des Français”, mené par Anne Genetet, députée des Français établis hors de France. Rendu le 11 septembre dernier au Premier ministre, il révèle que « les Français à l’étranger souhaitent être considérés comme des membres à part entière de la communauté nationale. À ce titre, ils veulent bénéficier d’une fiscalité comparable qui prend en compte leurs spécificités.”
D’après le rapport de la députée, 2 à 3 millions de Français résident en-dehors des frontières nationales. Ils représentent ainsi 0,6 % des contribuables, mais versent 1 % de l’impôt sur le revenu. « Il est temps d’arrêter de considérer les non-résidents comme des exilés fiscaux en puissance et de leur faire payer les bassesses d’une infime fraction », concluait le rapport parlementaire. Les mesures annoncées viennent répondre à ces situations problématiques.
Il faut plus que jamais lutter contre le gaspillage alimentaire
16 octobre 2018 – ActualitéIl faut plus que jamais lutter contre le gaspillage alimentaire
La journée nationale contre le gaspillage alimentaire, ce mardi 16 octobre 2018, est l’occasion de faire le …
Remaniement : composition du nouveau gouvernement
16 octobre 2018Remaniement : composition du nouveau gouvernement
Le remaniement gouvernemental a été annoncé ce matin par communiqué de la présidence de la République. Le nouveau gouvernement comprend…
Intempéries dans l’Aude : le Gouvernement et les secours sont pleinement mobilisés
Intempéries dans l’Aude : le Gouvernement et les secours sont pleinement mobilisés.
François de Rugy : « Les conclusions du rapport du GIEC sont un appel à agir adressé au monde entier »
François de Rugy : « Les conclusions du rapport du GIEC sont un appel à agir adressé au monde entier »
Commandé au GIEC lors de la COP 21 de décembre 2015, le rapport, dévoilé aujourd’hui, analyse l’état de la planète dans le cadre des engagements pris lors de l’Accord de Paris : les populations, écosystèmes et moyens de subsistance sont déjà affectés par le changement climatique.
Le rapport confirme que les températures montent en raison des émissions de gaz à effet de serre produites par l’activité humaine. Actuellement de 1°C, le réchauffement de la planète pourrait atteindre 1,5° entre 2030 et 2052. Avec pour conséquences directes, la fonte des glaces et la montée du niveau des océans qui vont notamment fortement menacer de submersion les pays insulaires. Si la situation est aujourd’hui critique, il n’est pas trop tard, pour le GIEC, d’enclencher une transition énergétique forte.
Contenir le réchauffement à 1,5 %
Les Accords de Paris visent à limiter le réchauffement du climat entre 1,5°C et 2°C. On peut aller plus loin. En effet, selon Valérie Masson-Delmotte, co-présidente du groupe de travail sur les sciences du climat du GIEC, « chaque demi-degré de plus compte et il y a des avantages indéniables à limiter le réchauffement à 1,5°C plutôt que 2°C. »
Pour la climatologue, « Ne pas dépasser 1,5°C n’est pas impossible, mais cela demande des transitions sans précédent dans tous les aspects de la société », d’autant plaide-t-elle que, contenir le réchauffement à 1,5 °C, peut aller de pair avec la réalisation des objectifs du développement durable, pour améliorer la qualité de vie de tous.
Nouvelle stratégie bas carbone du Gouvernement
Face à l’urgence climatique, François de Rugy, le ministre de la Transition écologique et solidaire, a notamment annoncé la présentation d’une nouvelle stratégie bas carbone à la fin du mois d’octobre. Au programme : sortie progressive des énergies fossiles, baisse de la consommation d’énergie et de la production de déchets et déploiement d’une mobilité propre. Cette stratégie s’inscrit directement dans les engagements pris par le Président de la République Emmanuel Macron.
En septembre 2017, le Grand plan d’investissement (GPI) accordait 20 milliards d’euros pour mettre en œuvre une transition écologique d’ampleur. Preuve de l’importance qu’accorde le Gouvernement à cette question, c’est le budget est le plus important du plan, devant les compétences et la formation professionnelle (15 milliards d’euros), la compétitivité et l’innovation (13 milliards d’euros) ou le numérique (9 milliards d’euros).
François de Rugy a par ailleurs annoncé qu’il mobilisera dès demain, à l’occasion du conseil européen des ministres de l’Environnement, ses homologues pour revoir à la hausse les engagements de la COP21, et entraîner ainsi le reste du monde à tenir les objectifs de l’Accord de Paris.
Le rapport du GIEC démontre scientifiquement l’urgence d’agir pour le climat
Le rapport du GIEC démontre scientifiquement l’urgence d’agir pour le climat
Commandé au GIEC lors de la COP 21 de décembre 2015, le rapport, dévoilé aujourd’hui, analyse l’état de la planète dans le cadre des engagements pris lors de l’Accord de Paris : les populations, écosystèmes et moyens de subsistance sont déjà affectés par le changement climatique.
Le rapport confirme que les températures montent en raison des émissions de gaz à effet de serre produites par l’activité humaine. Actuellement de 1°C, le réchauffement de la planète pourrait atteindre 1,5° entre 2030 et 2052. Avec pour conséquences directes, la fonte des glaces et la montée du niveau des océans qui vont notamment fortement menacer de submersion les pays insulaires. Si la situation est aujourd’hui critique, il n’est pas trop tard, pour le GIEC, d’enclencher une transition énergétique forte.
Contenir le réchauffement à 1,5 %
Les Accords de Paris visent à limiter le réchauffement du climat entre 1,5°C et 2°C. On peut aller plus loin. En effet, selon Valérie Masson-Delmotte, co-présidente du groupe de travail sur les sciences du climat du GIEC, « chaque demi-degré de plus compte et il y a des avantages indéniables à limiter le réchauffement à 1,5°C plutôt que 2°C. »
Pour la climatologue, « Ne pas dépasser 1,5°C n’est pas impossible, mais cela demande des transitions sans précédent dans tous les aspects de la société », d’autant plaide-t-elle que, contenir le réchauffement à 1,5 °C, peut aller de pair avec la réalisation des objectifs du développement durable, pour améliorer la qualité de vie de tous.
Nouvelle stratégie bas carbone du Gouvernement
Face à l’urgence climatique, François de Rugy, le ministre de la Transition écologique et solidaire, a notamment annoncé la présentation d’une nouvelle stratégie bas carbone à la fin du mois d’octobre. Au programme : sortie progressive des énergies fossiles, baisse de la consommation d’énergie et de la production de déchets et déploiement d’une mobilité propre. Cette stratégie s’inscrit directement dans les engagements pris par le Président de la République Emmanuel Macron.
En septembre 2017, le Grand plan d’investissement (GPI) accordait 20 milliards d’euros pour mettre en œuvre une transition écologique d’ampleur. Preuve de l’importance qu’accorde le Gouvernement à cette question, c’est le budget est le plus important du plan, devant les compétences et la formation professionnelle (15 milliards d’euros), la compétitivité et l’innovation (13 milliards d’euros) ou le numérique (9 milliards d’euros).
François de Rugy a par ailleurs annoncé qu’il mobilisera dès demain, à l’occasion du conseil européen des ministres de l’Environnement, ses homologues pour revoir à la hausse les engagements de la COP21, et entraîner ainsi le reste du monde à tenir les objectifs de l’Accord de Paris.
Le rapport du GIEC démontre scientifiquement l’urgence d’agir pour le climat
Le rapport du GIEC démontre scientifiquement l’urgence d’agir pour le climat
Commandé au GIEC lors de la COP 21 de décembre 2015, le rapport, dévoilé aujourd’hui, analyse l’état de la planète dans le cadre des engagements pris lors de l’Accord de Paris : les populations, écosystèmes et moyens de subsistance sont déjà affectés par le changement climatique.
Le rapport confirme que les températures montent en raison des émissions de gaz à effet de serre produites par l’activité humaine. Actuellement de 1°C, le réchauffement de la planète pourrait atteindre 1,5° entre 2030 et 2052. Avec pour conséquences directes, la fonte des glaces et la montée du niveau des océans qui vont notamment fortement menacer de submersion les pays insulaires. Si la situation est aujourd’hui critique, il n’est pas trop tard, pour le GIEC, d’enclencher une transition énergétique forte.
Contenir le réchauffement à 1,5 %
Les Accords de Paris visent à limiter le réchauffement du climat entre 1,5°C et 2°C. On peut aller plus loin. En effet, selon Valérie Masson-Delmotte, co-présidente du groupe de travail sur les sciences du climat du GIEC, « chaque demi-degré de plus compte et il y a des avantages indéniables à limiter le réchauffement à 1,5°C plutôt que 2°C. »
Pour la climatologue, « Ne pas dépasser 1,5°C n’est pas impossible, mais cela demande des transitions sans précédent dans tous les aspects de la société », d’autant plaide-t-elle que, contenir le réchauffement à 1,5 °C, peut aller de pair avec la réalisation des objectifs du développement durable, pour améliorer la qualité de vie de tous.
Nouvelle stratégie bas carbone du Gouvernement
Face à l’urgence climatique, François de Rugy, le ministre de la Transition écologique et solidaire, a notamment annoncé la présentation d’une nouvelle stratégie bas carbone à la fin du mois d’octobre. Au programme : sortie progressive des énergies fossiles, baisse de la consommation d’énergie et de la production de déchets et déploiement d’une mobilité propre. Cette stratégie s’inscrit directement dans les engagements pris par le Président de la République Emmanuel Macron.
En septembre 2017, le Grand plan d’investissement (GPI) accordait 20 milliards d’euros pour mettre en œuvre une transition écologique d’ampleur. Preuve de l’importance qu’accorde le Gouvernement à cette question, c’est le budget est le plus important du plan, devant les compétences et la formation professionnelle (15 milliards d’euros), la compétitivité et l’innovation (13 milliards d’euros) ou le numérique (9 milliards d’euros).
François de Rugy a par ailleurs annoncé qu’il mobilisera dès demain, à l’occasion du conseil européen des ministres de l’Environnement, ses homologues pour revoir à la hausse les engagements de la COP21, et entraîner ainsi le reste du monde à tenir les objectifs de l’Accord de Paris.
CSG, éducation, prix des carburants… Ce qu’il faut retenir de l’interview d’Edouard Philippe
20 septembre 2018 – ActualitéCSG, éducation, prix des carburants… Ce qu’il faut retenir de l’interview d’Edouard Philippe
Le Premier ministre était, jeudi 20 septembre, l’invité de la matinale de Fr…
Edouard Philippe au Medef : « Il n’est pas trop tard pour réparer notre pays »
30 août 2018 – ActualitéEdouard Philippe au Medef : « Il n’est pas trop tard pour réparer notre pays »
Le Premier ministre s’est exprimé, le 28 août, devant les membres du Medef à l’occasion de leur 20e université d’été. Retour en tr…
#ConfAmbass : la feuille de route des chefs de missions diplomatiques
#ConfAmbass : la feuille de route des chefs de missions diplomatiques
La question de la sécurité et de la défense de l’Europe est notamment au cœur des préoccupations du chef de l’État, qui se félicite des dernières avancées sur ce terrain (renforcement de la politique commune de défense, création d’un fonds de défense pour financer des initiatives concrètes, conclusion d’accords stratégiques avec l’Allemagne, initiative européenne d’intervention). Un projet de renforcement de la solidarité en Europe en matière de sécurité sera présenté dans les prochains mois.
Rappelant la situation difficile de la Syrie, qui doit néanmoins aboutir à ce que le peuple syrien soit bien en mesure de choisir ses dirigeants, et les progrès accomplis pour le Sahel et la Lybie grâce à l’appui de la France (création des forces conjointes du G5 Sahel, montée en puissance de l’Union Africaine, l’Alliance pour le Sahel…), Emmanuel Macron a également rappelé que « l’unilatéralisme absolu et la guerre commerciale » ne répondaient pas aux insuffisances du système de régulation du commerce international. Pour intégrer les exigences sociales et environnementales de chacun, une première conférence se tiendra en marge du 11 novembre prochain. La négociation et l’adoption d’un nouveau pacte mondial pour l’environnement est également un objectif prioritaire de la diplomatie française.
Le Premier ministre a donc présenté le lendemain les principes de mise en œuvre de ce programme, qui prévoit un budget de coopération culturelle stabilisé en 2019 et des moyens accrus pour la politique de solidarité internationale (qui atteindra 0,55% du revenu national brut en 2022). Cette mise en œuvre consiste à donner les moyens concrets, au quotidien comme au plan stratégique, de gérer chaque ambassade avec trois leviers :
- Une « intelligence locale » des moyens au quotidien, par un décloisonnement de chaque service d’ambassade.
- Une évolution des réseaux de l’État à l’étranger par métier et par géographie, avec des évolutions et redéploiements d’emplois selon les priorités de chaque poste diplomatique.
- Des économies budgétaires qui s’élèveront à 10% de la masse salariale d’ici 2022, sans porter atteinte à l’universalité du réseau diplomatique, à sa sécurité ou aux à l’enseignement du Français dans le monde.
Un « contrat de transformation » sera élaboré d’ici à la fin de l’année pour tracer les objectifs de cette réforme à l’horizon 2022, en respectant le cadre plus général de la réforme de la fonction publique (« Action publique 2022« ) fondé sur la rénovation du dialogue social, un recours accru aux contractuels (notamment pour les métiers ne relevant pas d’une spécificité propre au service public), la refonte de la politique de rémunération et l’accompagnement pour les projets de reconversions ou de mobilité.
Vous voyez (…) ce dont la France a besoin pour être à la hauteur à la fois de sa vocation et de son époque. Et pour recouvrer sa pleine et entière puissance, elle a besoin d’un message clair, d’une audace. Nous l’avons. Elle a besoin d’une administration en ordre ; d’une économie robuste ; de finances publiques saines ; d’hommes et de femmes qualifiés. Elle a besoin d’innovation, d’investissement. Elle a besoin d’une vision, notamment en Europe.
Aides sociales, retraites, fonctionnaires : les principales mesures du budget 2019
27 août 2018 Aides sociales, retraites, fonctionnaires : les principales mesures du budget 2019 Lors d’une entrevue réalisée par…
Des mesures pour rendre plus effective la politique d’intégration
6 juin 2018 – ActualitéDes mesures pour rendre plus effective la politique d’intégration
A l’occasion de la première réunion du Comité interministériel à l’intégration, le Premier ministre a annoncé l…
#AnzacDay – L’allié australien de la Grande guerre célébré
24 avril 2018#AnzacDay – L’allié australien de la Grande guerre célébré
Le 24 avril, le Premier ministre Edouard Philippe inaugure en présence du Premier ministre du Commonwealth d’Australie, Malcolm …
#AnzacDay – L’allié australien de la Grande guerre célébré
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Le 24 avril, le Premier ministre Edouard Philippe inaugure en présence du Premier ministre du Commonwealth d’Australie, Malcolm …
Visite de la plateforme multi-modale de Bonneuil-sur-Marne
Déplacement de M. Edouard PHILIPPE, Premier ministre, accompagné de M. Nicolas HULOT, ministre d’Etat, ministre de la Transition écologique et solidaire et de Mme Elisabeth BORNE, ministre auprès du ministre d’Etat, ministre de la Transition écologique… [Dispositif presse]
Plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme : 21 mesures pour continuer le combat
16 mars 2018Plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme : 21 mesures pour continuer le combat
"Notre devoir, c’est de continuer le combat. De le continuer en l’adaptant". A …
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Un plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme
16 mars 2018 Un plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme
A l’occasion de la Semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme, le Premier ministre a présenté le…
Chantiers de la Justice : présentation des axes de la réforme
Chantiers de la Justice : présentation des axes de la réforme
Les 4 volets de la réforme présentés à Reims permettent d’aborder l’ensemble des enjeux majeurs de la Justice :
- l’amélioration et la simplification des procédures pénale et civile,
- la transformation numérique,
- le sens et l’efficacité des peines,
- l’adaptation de l’organisation judiciaire.
Parmi les mesures phares présentées par la réforme, on peut citer :
- la réduction des délais inutiles tout en améliorant le travail des enquêteurs, le parcours des victimes et l’exercice des magistrats ;
- l’expérimentation d’un tribunal criminel départemental pour les crimes les moins graves dans le but de désengorger les cours d’assises et de limiter la détention provisoire ;
- le contentieux des tribunaux d’instance et de grande instance sera fusionné mais tous les sites seront maintenus notamment lorsqu’ils seront isolés. Ainsi le justiciable pourra saisir la justice civile ou pénale ou se renseigner sur son litige sur tous les sites judiciaires. Son affaire pourra être jugée plus près de chez lui.
L’ensemble de ces mesures de simplification vise à améliorer le travail des enquêteurs, le parcours des victimes tout en prenant en compte le travail des magistrats. Sur la base de la restitution des chantiers, la concertation se poursuivra avec la présentation détaillée du projet aux organisations syndicales, avant la transmission au Conseil d’État. La projet de loi sera ensuite discuté au Parlement.
Dossier de presse du 9 mars 2018 : Les chantiers de la Justice
Chantiers de la Justice : présentation des axes de la réforme
9 mars 2018 Chantiers de la Justice : présentation des axes de la réforme Le 9 mars 2018 Édouard Philippe…
Un comité interministériel pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes
8 mars 2018Un comité interministériel pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes
Grande cause du quinquennat, l’égalité entre les femmes et les hommes mobilise aujourd’hui l’ensemble du Gou…
Un comité interministériel pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes
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Le rapport 2017 sur les indicateurs de richesses
21 février 2018 – ActualitéLe rapport 2017 sur les indicateurs de richesses
Le rapport 2017 sur les indicateurs de richesse vient de paraître. Comme chaque année, depuis 2015, il fait apparaître à tra…
Le rapport 2017 sur les indicateurs de richesses
21 février 2018 – ActualitéLe rapport 2017 sur les indicateurs de richesses
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Entretien avec M. Mario Centeno, Président de l’Eurogroupe
M. Edouard PHILIPPE, Premier ministre, recevra M. Mario CENTENO, ministre des Finances du Portugal, Président de l’Eurogroupe Jeudi 11 janvier 2018 à…
#EGalim clôture : une réflexion partagée pour la construction de solutions nouvelles
#EGalim clôture : une réflexion partagée pour la construction de solutions nouvelles
- 5 mois de travail (de juillet à décembre)
- 14 ateliers nationaux, ayant réuni 700 participants
- 74 événements territoriaux
- 1 consultation publique (156 000 visiteurs, 17 000 contributions )
Toutefois, le modèle agricole française n’est plus satisfaisant. les problématiques sont complexes : comment éviter la sur et/ou la sous production ? Comment garantir les prix aux producteurs ? Comment pallier à la volatilité des prix, notamment à la baisse des cours ? Comment nourrir à faible coût avec des produits de qualité sans risques sanitaires et environnementaux ? … Autant de questions que se sont posés les acteurs des Etats généraux de l’alimentation durant leur 5 mois de travail.
La synthèse des États généraux de l’alimentation : voir la feuille de route 2018-2022
Un projet de loi pour trois défis
Lors de son discours de clôture, le Premier ministre, Édouard Philippe, a annoncé le dépôt d’un projet de loi, début 2018, pour engager cette grande réforme. L’objectif est triple : 1. Développer la création de valeur dans les filières françaises et permettre une une juste rémunération de ses acteurs, en particulier les producteurs dont une grande partie ne parvient pas couvrir les coûts de production. Ainsi, des plans de filière se fixent des objectifs de développement de la contractualisation sur ces nouvelles bases, pour aboutir à une répartition de la valeur plus équitable au bénéfice des agriculteurs.
Le projet de loi permettra de mieux encadrer les relations commerciales, les règles de contractualisation et l’environnement juridique des entreprises. Pour lutter contre la baisse des revenus des producteurs, le projet de loi contiendra des mesures en leur faveur, comme par exemple :
- le relèvement du seuil de revente à perte de 10 % pour prendre en compte les coûts logistiques et de transports.
- l’encadrement des promotions qui ne pourront porter au maximum que sur un tiers (34%) de la valeur des produits, 25 % du volume vendu par an.
> Voir l’ensemble des mesures sur le site du ministère de l’Agriculture
[aux] Etats généraux, c’est le constat partagé que la guerre des prix dans la grande distribution détruit de la valeur. Pour les agriculteurs, les PME de l’agroalimentaire. [Mais] aussi pour le commerce, la distribution et les consommateurs, privés du développement de nouveaux produits et de l’innovation. La création et la répartition de valeur vont de pair.
2. Développer des plans de filières agricoles
Pour accompagner la transformation des modèles de production, des « plans de filière » sont mis en place. Chaque filière devra faire des efforts, sur les marges, les prix, sur l’organisation collective…. Le dispositif doit permettre d’arriver à des restructurations internes aux interprofessions, des objectifs de montée en gamme sur le bio, sur les signes de qualité, des objectifs environnementaux et sociétaux, des programmes de recherche agricole, de ciblage des investissements, etc.
Les nouveaux contrats de filières mettront l’accent sur une meilleure répartition de la valeur, sur le bio, sur la qualité, sur le bien-être animal. Tous ces sujets sont au cœur des attentes des consommateurs.
> Voir l’ensemble des mesures sur le site du ministère de l’Agriculture
Plusieurs filières proposent de se réorganiser à la suite des Etats généraux, pour rassembler l’ensemble des opérateurs économiques dans les interprofessions. […] Elles prennent l’engagement de développer la contractualisation, les organisations de producteurs et de nouveaux indicateurs pour mieux prendre en compte les coûts de production agricole.
3. Répondre aux nouvelles attentes des consommateurs
Les consommateurs d’aujourd’hui sont de plus en plus tournés vers des produits garants d’une nourriture saine, voire écologique. De plus en plus exigeants sur la provenance et la qualité des produits, ils ont pour souci une information claire sur la composition des aliments.
Parmi les mesures décidées :
- L’amélioration de l’information du consommeur au moment de l’achat avec un étiquetage digital complet mais simple.
- La sensibilisation au gaspillage alimentaire grâce à une communication efficace, mais aussi grâce à l’extension de la politique de distribution vers les publics nécessiteux.
Promouvoir une alimentation saine et durable, grâce à l’amélioration de l’information des consommateurs : les repères nutritionnels qui sont aujourd’hui fixés pour des aliments bruts – quand 50 % des aliments sont transformés – seront adaptés. #EGAlim pic.twitter.com/MRgFWLTV1m— Edouard Philippe (@EPhilippePM) December 21, 2017
Sur le volet de la production bio, le Premier ministre a précisé que :
- l’objectif de 50% de produits bio, locaux ou écologiques dans la restauration collective d’ici la fin du quinquennat, sera inscrite dans la loi.
- un plan de développement de l’agriculture bio sera annoncé par le Gouvernement d’ici la fin du premier trimestre 2018.
- la surface agricole utile pour le bio devrait doubler d’ici à 2022 : 15 % contre 6,5 % aujourd’hui. Avec pour objectif 30% en 2030.
- Un plan d’élimination progressive des pesticides (dont le glyphosate) sera précisé à la fin du 1er trimestre 2018.
> Voir l’ensemble des mesures sur le site du ministère de l’Agriculture
#EGalim clôture : une réflexion partagée pour la construction de solutions nouvelles
#EGalim clôture : une réflexion partagée pour la construction de solutions nouvelles
- 5 mois de travail (de juillet à décembre)
- 14 ateliers nationaux, ayant réuni 700 participants
- 74 événements territoriaux
- 1 consultation publique (156 000 visiteurs, 17 000 contributions )
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Toutefois, le modèle agricole française n’est plus satisfaisant. les problématiques sont complexes : comment éviter la sur et/ou la sous production ? Comment garantir les prix aux producteurs ? Comment pallier à la volatilité des prix, notamment à la baisse des cours ? Comment nourrir à faible coût avec des produits de qualité sans risques sanitaire et environnementaux ? …
Un projet de loi pour trois défis
Lors de son discours de clôture, le Premier ministre, Édouard Philippe, a annoncé le dépôt d’un projet de loi, début 2018, pour engager cette grande réforme. L’objectif est triple :>>1. Développer la création valeur dans les filières françaises et permettre une une juste rémunération de ses acteurs, en particulier les producteurs dont une grande partie ne parvient pas couvrir les coûts de production. Ainsi, des plans de filière se fixent des objectifs de développement de la contractualisation sur ces nouvelles bases, pour aboutir à une répartition de la valeur plus équitable au bénéfice des agriculteurs.>>
Le projet de loi permettra de mieux encadrer les relations commerciales, les règles de contractualisation et l’environnement juridique des entreprises. Pour lutter contre la baisse des revenus des producteurs, le projet de loi contiendra des mesures en leur faveur, comme par exemple :
- le relèvement du seuil de revente à perte de 10 % pour prendre en compte les coûts logistiques et de transports.
- l’encadrement des promotions qui ne pourront porter au maximum que sur un tiers (34%) de la valeur des produits, 25 % du volume vendu par an.
> Voir l’ensemble des mesures sur le site du ministère de l’Agriculture>>
[aux] Etats généraux, c’est le constat partagé que la guerre des prix dans la grande distribution détruit de la valeur. Pour les agriculteurs, les PME de l’agroalimentaire. [Mais] aussi pour le commerce, la distribution et les consommateurs, privés du développement de nouveaux produits et de l’innovation. La création et la répartition de valeur vont de pair.
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>2. Développer des plans de filières agricoles>>
Pour accompagner la transformation des modèles de production, des « plans de filière » sont mis en place. Chaque filière devra faire des efforts, sur les marges, les prix, sur l’organisation collective…. Le dispositif doit permettre d’arriver à des restructurations internes aux interprofessions, des objectifs de montée en gamme sur le bio, sur les signes de qualité, des objectifs environnementaux et sociétaux, des programmes de recherche agricole, de ciblage des investissements, etc.>>
Les nouveaux contrats de filières mettront l’accent sur une meilleure répartition de la valeur, sur le bio, sur la qualité, sur le bien-être animal. Tous ces sujets sont au cœur des attentes des consommateurs.>>
> Voir l’ensemble des mesures sur le site du ministère de l’Agriculture>
Plusieurs filières proposent de se réorganiser à la suite des Etats généraux, pour rassembler l’ensemble des opérateurs économiques dans les interprofessions. […] Elles prennent l’engagement de développer la contractualisation, les organisations de producteurs et de nouveaux indicateurs pour mieux prendre en compte les coûts de production agricole.
>>3. Répondre aux nouvelles attentes des consommateurs >>
Les consommateurs d’aujourd’hui sont de plus en plus tournés vers des produits garants d’une nourriture saine, voire écologique. De plus en plus exigeants sur la provenance et la qualité des produits, ils ont pour souci une information claire sur la composition des aliments.>>
Parmi les mesures décidées :
- L’amélioration de l’information du consommeur au moment de l’achat avec un étiquetage digital complet mais simple.
- La sensibilisation au gaspillage alimentaire grâce à une communication efficace, mais aussi grâce à l’extension de la politique de distribution vers les publics nécessiteux.
Promouvoir une alimentation saine et durable, grâce à l’amélioration de l’information des consommateurs : les repères nutritionnels qui sont aujourd’hui fixés pour des aliments bruts – quand 50 % des aliments sont transformés – seront adaptés. #EGAlim pic.twitter.com/MRgFWLTV1m— Edouard Philippe (@EPhilippePM) December 21, 2017
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Sur le volet de la production bio, le Premier ministre a précisé que :
- l’objectif de 50% de produits bio, locaux ou écologiques dans la restauration collective d’ici la fin du quinquennat, sera inscrite dans la loi.
- un plan de développement de l’agriculture bio sera annoncé par le Gouvernement d’ici la fin du premier trimestre 2018.
- la surface agricole utile pour le bio devrait doubler d’ici à 2022 : 15 % contre 6,5 % aujourd’hui. Avec pour objectif 30% en 2030.
- Un plan d’élimination progressive des pesticides (dont le glyphosate) sera précisé à la fin du 1er trimestre 2018.
> Voir l’ensemble des mesures sur le site du ministère de l’Agriculture>>>
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Nouvelle-Calédonie : un déplacement pour poursuivre le dialogue et préparer la consultation de 2018
1 décembre 2017 – ActualitéNouvelle-Calédonie : un déplacement pour poursuivre le dialogue et préparer la consultation de 2018
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