Le vote d’un sursis de 12 ans aux centrales nucléaires allemandes est une aubaine pour les industriels français de la rénovation des réacteurs. Parmi ceux qui se frottent les mains, le fabricant de turbines Alstom, mais aussi la filiale d’Onet Comex nucléaire ou les filiales d’Areva spécialisées dans les composants forgés.