Un biomarqueur épigénétique pour éviter des chimiothérapies inutiles

Grâce à leur expertise en épigénétique, les chercheurs du CNRS et de l'Institut Curie ont pu mettre au jour un nouveau marqueur pronostique. En l'analysant, il est désormais envisageable de distinguer parmi les femmes atteintes de la forme la plus fréquente des cancers du sein, les luminaux A, si leur tumeur est de bon ou de mauvais pronostic. Ce nouveau biomarqueur va permettre de prescrire une chimiothérapie aux femmes qui en ont réellement besoin, en épargnant aux autres un traitement inutile. Ces résultats sont publiés dans la revue .

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Author: Redaction