Étiquette : LSA
Le beaujolais retrouve de l'allant
Après avoir subi une période de profonde désaffection de la part des consommateurs, mais aussi des distributeurs, le beaujolais reprend de la vigueur en grande distribution. Le résultat d’un effort conjoint réal…
Le beaujolais retrouve de l'allant
Après avoir subi une période de profonde désaffection de la part des consommateurs, mais aussi des distributeurs, le beaujolais reprend de la vigueur en grande distribution. Le résultat d’un effort conjoint réal…
Action, nouveau phénomène du discount en France [Diaporama]
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Toys’R’Us inaugure sa première course aux jouets [Vidéo]
Mieux qu’une chasse au trésor : une course aux jouets ! Le 29 octobre 2016, Toys’R’Us offrira aux cinq gagnants de son jeu-concours Super ToyRun la possibilité de remplir leur chariot des jouets de leur choix dans l’un de ses 51 magasins. Mais il faudra être rapide : les enfants ne disposeront que de trois minutes pour vider les rayons.
Les métiers de la sécurité en magasin
Une « bonne moralité », une formation d’un mois et les portes des métiers de la sécurité et de la sûreté en magasin s’ouvrent aux salariés désireux de devenir agent. Le secteur, qui recrute sans cesse, voit ses métiers revalorisés depuis que des agents ont joué un rôle important lors des attentats de novembre 2015. Les explications du site emploi-pro.fr.
Comerso, l’entreprise qui lutte contre le gaspillage alimentaire dans la grande distribution
Lancée en 2013, l’entreprise spécialisée en « logistique du don » comme l’explique son fondateur Pierre-Yves Pasquier, récupère les invendus non périmés des enseignes de la grande distribution. Après une levée de fonds de 2,2 millions d’euros, Comerso entend s’implanter sur l’ensemble du territoire.
Trader Joe’s, l’étonnant cousin américain d’Aldi [En images]
Apeu de chose près, Trader’s Joe a failli remporter le titre honorifique de supermarché préféré des Américains pour la cinquième année consécutive. Ce qui dénote une certaine cote d’amour reposant sur plusieurs piliers. Le premier saute aux yeux lorsque l’on pénètre dans un de ces points de vente, d’une surface moyenne de 1 000 à 1 200 m² : la déco se veut cool et colorée, héritage perpétué depuis la création de l’enseigne en Californie, en 1967, par Joe Coulombe, en pleine période hippie. Dans le magasin que LSA a visité à Tampa, en Floride, le mobilier en bois et les couleurs douces cotoient un présentoir à thé et café coiffé de feuilles de palmiers, alors que les fresques un peu naïves peintes sur le haut des murs animent l’espace, avec une énorme vache au-dessus des produits laitiers, tandis que les casques et fanions des équipes universitaires du coin donnent une touche locale. Les accroches produits griffonnées sur les panneaux et présentoirs sont tout aussi percutantes et humoristiques. L’approche n’est pas sans rappeler un mélange de Michel et Augustin et Monoprix, à cela près que Traders Joe’s propose une offre de produits plutôt gourmets à prix modérés, en se présentant comme un découvreur de saveurs. Et petit à petit, le réseau s’étoffe. Au point de dépasser les 450 unités, avec un développement très fort en dehors du fief historique de Californie, et plusieurs dizaines d’ouvertures par an.
Toute l’équipe sur le pont
Pour être repérés de loin, et trancher avec les uniformes classiques, les salariés arborent des chemises à fleur so baba cool. Et lorsque l’ouverture d’une caisse est nécessaire (chacune porte d’ailleurs un nom), une véritable cloche maritime retentit une fois. Elle est actionnée deux fois lorsqu’un client a besoin d’une réponse précise en caisse, et trois fois pour appeler un manager. Si l’agencement est remarquable, l’assortiment l’est tout autant. La MDD Trader Joe’s est omniprésente, et constitue à vue d’œil 90% de l’offre, avec des produits peu conventionnels comme la confiture de bacon ou les marshmallows. Elle reste dans l’esprit du lieu et joue sur les couleurs, les présentations originales et les packagings spéciaux, comme une véritable marque. Certains produits italiens sont renommés Trader Giotto’s, ou Trader Jacques pour quelques spécialités françaises.
La qualité à moindre coût
Les fruits et légumes, notamment bio, sont très présents. Et depuis 2007, le distributeur a choisi d’éliminer les colorants artificiels, les arômes, conservateurs et OGM de ses produits, ce qui n’est pas très courant aux États-Unis. La profondeur de gamme est assez courte et le choix de ne proposer presque que des MDD est une question de maîtrise des coûts, en commandant les produits directement aux fabricants. Bref, tout est fait pour améliorer les rotations, et tirer les prix de vente vers le bas. Des méthodes qui ne sont pas sans rappeler le hard-discount. D’ailleurs, en 1979, Trader Joe’s a tapé dans l’œil d’un certain Theo Albrecht. Au point que le cofondateur du groupe Aldi a racheté le distributeur américain, qui appartient toujours au holding familial. Aldi et Trader Joe’s sont – a priori – aux antipodes : Aldi se distingue par un modèle ultra-épuré et austère, alors que l’américain se veut décalé et coloré. Mais sur un plan commercial, les méthodes sont assez similaires. Si les synergies restent assez faibles, la marque Trader’s Joe a tout de même été importée en Europe, ou elle sert de MDD sur des catégories de produits vendues chez Aldi, comme les cacahuètes et certains produits apéritifs en France. La culture du secret d’Aldi a rejailli sur la chaîne, sur laquelle peu d’éléments sont publics. En 2010, le magazine Fortune estimait les ventes à 1 750 $ par pied carré, soit plus du double de Whole Foods. En tant que compagnie privée, le distributeur ne publie pas son chiffre d’affaires, qui était estimé à 8 Mrds $ par les analystes… il y a six ans. Depuis, l’enseigne a continué à grandir. Et annonce plusieurs fois par mois qu’elle va « jeter l’ancre » (ouvrir) dans de nouvelles villes, notamment Houston (Texas), Culver City (Californie) et New York.
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Trader Joe’s, l’étonnant cousin américain d’Aldi [En images]
Apeu de chose près, Trader’s Joe a failli remporter le titre honorifique de supermarché préféré des Américains pour la cinquième année consécutive. Ce qui dénote une certaine cote d’amour reposant sur plusieurs piliers. Le premier saute aux yeux lorsque l’on pénètre dans un de ces points de vente, d’une surface moyenne de 1 000 à 1 200 m² : la déco se veut cool et colorée, héritage perpétué depuis la création de l’enseigne en Californie, en 1967, par Joe Coulombe, en pleine période hippie. Dans le magasin que LSA a visité à Tampa, en Floride, le mobilier en bois et les couleurs douces cotoient un présentoir à thé et café coiffé de feuilles de palmiers, alors que les fresques un peu naïves peintes sur le haut des murs animent l’espace, avec une énorme vache au-dessus des produits laitiers, tandis que les casques et fanions des équipes universitaires du coin donnent une touche locale. Les accroches produits griffonnées sur les panneaux et présentoirs sont tout aussi percutantes et humoristiques. L’approche n’est pas sans rappeler un mélange de Michel et Augustin et Monoprix, à cela près que Traders Joe’s propose une offre de produits plutôt gourmets à prix modérés, en se présentant comme un découvreur de saveurs. Et petit à petit, le réseau s’étoffe. Au point de dépasser les 450 unités, avec un développement très fort en dehors du fief historique de Californie, et plusieurs dizaines d’ouvertures par an.
Toute l’équipe sur le pont
Pour être repérés de loin, et trancher avec les uniformes classiques, les salariés arborent des chemises à fleur so baba cool. Et lorsque l’ouverture d’une caisse est nécessaire (chacune porte d’ailleurs un nom), une véritable cloche maritime retentit une fois. Elle est actionnée deux fois lorsqu’un client a besoin d’une réponse précise en caisse, et trois fois pour appeler un manager. Si l’agencement est remarquable, l’assortiment l’est tout autant. La MDD Trader Joe’s est omniprésente, et constitue à vue d’œil 90% de l’offre, avec des produits peu conventionnels comme la confiture de bacon ou les marshmallows. Elle reste dans l’esprit du lieu et joue sur les couleurs, les présentations originales et les packagings spéciaux, comme une véritable marque. Certains produits italiens sont renommés Trader Giotto’s, ou Trader Jacques pour quelques spécialités françaises.
La qualité à moindre coût
Les fruits et légumes, notamment bio, sont très présents. Et depuis 2007, le distributeur a choisi d’éliminer les colorants artificiels, les arômes, conservateurs et OGM de ses produits, ce qui n’est pas très courant aux États-Unis. La profondeur de gamme est assez courte et le choix de ne proposer presque que des MDD est une question de maîtrise des coûts, en commandant les produits directement aux fabricants. Bref, tout est fait pour améliorer les rotations, et tirer les prix de vente vers le bas. Des méthodes qui ne sont pas sans rappeler le hard-discount. D’ailleurs, en 1979, Trader Joe’s a tapé dans l’œil d’un certain Theo Albrecht. Au point que le cofondateur du groupe Aldi a racheté le distributeur américain, qui appartient toujours au holding familial. Aldi et Trader Joe’s sont – a priori – aux antipodes : Aldi se distingue par un modèle ultra-épuré et austère, alors que l’américain se veut décalé et coloré. Mais sur un plan commercial, les méthodes sont assez similaires. Si les synergies restent assez faibles, la marque Trader’s Joe a tout de même été importée en Europe, ou elle sert de MDD sur des catégories de produits vendues chez Aldi, comme les cacahuètes et certains produits apéritifs en France. La culture du secret d’Aldi a rejailli sur la chaîne, sur laquelle peu d’éléments sont publics. En 2010, le magazine Fortune estimait les ventes à 1 750 $ par pied carré, soit plus du double de Whole Foods. En tant que compagnie privée, le distributeur ne publie pas son chiffre d’affaires, qui était estimé à 8 Mrds $ par les analystes… il y a six ans. Depuis, l’enseigne a continué à grandir. Et annonce plusieurs fois par mois qu’elle va « jeter l’ancre » (ouvrir) dans de nouvelles villes, notamment Houston (Texas), Culver City (Californie) et New York.
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Trader Joe’s, l’étonnant cousin américain d’Aldi [En images]
Apeu de chose près, Trader’s Joe a failli remporter le titre honorifique de supermarché préféré des Américains pour la cinquième année consécutive. Ce qui dénote une certaine cote d’amour reposant sur plusieurs piliers. Le premier saute aux yeux lorsque l’on pénètre dans un de ces points de vente, d’une surface moyenne de 1 000 à 1 200 m² : la déco se veut cool et colorée, héritage perpétué depuis la création de l’enseigne en Californie, en 1967, par Joe Coulombe, en pleine période hippie. Dans le magasin que LSA a visité à Tampa, en Floride, le mobilier en bois et les couleurs douces cotoient un présentoir à thé et café coiffé de feuilles de palmiers, alors que les fresques un peu naïves peintes sur le haut des murs animent l’espace, avec une énorme vache au-dessus des produits laitiers, tandis que les casques et fanions des équipes universitaires du coin donnent une touche locale. Les accroches produits griffonnées sur les panneaux et présentoirs sont tout aussi percutantes et humoristiques. L’approche n’est pas sans rappeler un mélange de Michel et Augustin et Monoprix, à cela près que Traders Joe’s propose une offre de produits plutôt gourmets à prix modérés, en se présentant comme un découvreur de saveurs. Et petit à petit, le réseau s’étoffe. Au point de dépasser les 450 unités, avec un développement très fort en dehors du fief historique de Californie, et plusieurs dizaines d’ouvertures par an.
Toute l’équipe sur le pont
Pour être repérés de loin, et trancher avec les uniformes classiques, les salariés arborent des chemises à fleur so baba cool. Et lorsque l’ouverture d’une caisse est nécessaire (chacune porte d’ailleurs un nom), une véritable cloche maritime retentit une fois. Elle est actionnée deux fois lorsqu’un client a besoin d’une réponse précise en caisse, et trois fois pour appeler un manager. Si l’agencement est remarquable, l’assortiment l’est tout autant. La MDD Trader Joe’s est omniprésente, et constitue à vue d’œil 90% de l’offre, avec des produits peu conventionnels comme la confiture de bacon ou les marshmallows. Elle reste dans l’esprit du lieu et joue sur les couleurs, les présentations originales et les packagings spéciaux, comme une véritable marque. Certains produits italiens sont renommés Trader Giotto’s, ou Trader Jacques pour quelques spécialités françaises.
La qualité à moindre coût
Les fruits et légumes, notamment bio, sont très présents. Et depuis 2007, le distributeur a choisi d’éliminer les colorants artificiels, les arômes, conservateurs et OGM de ses produits, ce qui n’est pas très courant aux États-Unis. La profondeur de gamme est assez courte et le choix de ne proposer presque que des MDD est une question de maîtrise des coûts, en commandant les produits directement aux fabricants. Bref, tout est fait pour améliorer les rotations, et tirer les prix de vente vers le bas. Des méthodes qui ne sont pas sans rappeler le hard-discount. D’ailleurs, en 1979, Trader Joe’s a tapé dans l’œil d’un certain Theo Albrecht. Au point que le cofondateur du groupe Aldi a racheté le distributeur américain, qui appartient toujours au holding familial. Aldi et Trader Joe’s sont – a priori – aux antipodes : Aldi se distingue par un modèle ultra-épuré et austère, alors que l’américain se veut décalé et coloré. Mais sur un plan commercial, les méthodes sont assez similaires. Si les synergies restent assez faibles, la marque Trader’s Joe a tout de même été importée en Europe, ou elle sert de MDD sur des catégories de produits vendues chez Aldi, comme les cacahuètes et certains produits apéritifs en France. La culture du secret d’Aldi a rejailli sur la chaîne, sur laquelle peu d’éléments sont publics. En 2010, le magazine Fortune estimait les ventes à 1 750 $ par pied carré, soit plus du double de Whole Foods. En tant que compagnie privée, le distributeur ne publie pas son chiffre d’affaires, qui était estimé à 8 Mrds $ par les analystes… il y a six ans. Depuis, l’enseigne a continué à grandir. Et annonce plusieurs fois par mois qu’elle va « jeter l’ancre » (ouvrir) dans de nouvelles villes, notamment Houston (Texas), Culver City (Californie) et New York.
%%HORSTEXTE:1%%
Trader Joe’s, l’étonnant cousin américain d’Aldi [En images]
Apeu de chose près, Trader’s Joe a failli remporter le titre honorifique de supermarché préféré des Américains pour la cinquième année consécutive. Ce qui dénote une certaine cote d’amour reposant sur plusieurs piliers. Le premier saute aux yeux lorsque l’on pénètre dans un de ces points de vente, d’une surface moyenne de 1 000 à 1 200 m² : la déco se veut cool et colorée, héritage perpétué depuis la création de l’enseigne en Californie, en 1967, par Joe Coulombe, en pleine période hippie. Dans le magasin que LSA a visité à Tampa, en Floride, le mobilier en bois et les couleurs douces cotoient un présentoir à thé et café coiffé de feuilles de palmiers, alors que les fresques un peu naïves peintes sur le haut des murs animent l’espace, avec une énorme vache au-dessus des produits laitiers, tandis que les casques et fanions des équipes universitaires du coin donnent une touche locale. Les accroches produits griffonnées sur les panneaux et présentoirs sont tout aussi percutantes et humoristiques. L’approche n’est pas sans rappeler un mélange de Michel et Augustin et Monoprix, à cela près que Traders Joe’s propose une offre de produits plutôt gourmets à prix modérés, en se présentant comme un découvreur de saveurs. Et petit à petit, le réseau s’étoffe. Au point de dépasser les 450 unités, avec un développement très fort en dehors du fief historique de Californie, et plusieurs dizaines d’ouvertures par an.
Toute l’équipe sur le pont
Pour être repérés de loin, et trancher avec les uniformes classiques, les salariés arborent des chemises à fleur so baba cool. Et lorsque l’ouverture d’une caisse est nécessaire (chacune porte d’ailleurs un nom), une véritable cloche maritime retentit une fois. Elle est actionnée deux fois lorsqu’un client a besoin d’une réponse précise en caisse, et trois fois pour appeler un manager. Si l’agencement est remarquable, l’assortiment l’est tout autant. La MDD Trader Joe’s est omniprésente, et constitue à vue d’œil 90% de l’offre, avec des produits peu conventionnels comme la confiture de bacon ou les marshmallows. Elle reste dans l’esprit du lieu et joue sur les couleurs, les présentations originales et les packagings spéciaux, comme une véritable marque. Certains produits italiens sont renommés Trader Giotto’s, ou Trader Jacques pour quelques spécialités françaises.
La qualité à moindre coût
Les fruits et légumes, notamment bio, sont très présents. Et depuis 2007, le distributeur a choisi d’éliminer les colorants artificiels, les arômes, conservateurs et OGM de ses produits, ce qui n’est pas très courant aux États-Unis. La profondeur de gamme est assez courte et le choix de ne proposer presque que des MDD est une question de maîtrise des coûts, en commandant les produits directement aux fabricants. Bref, tout est fait pour améliorer les rotations, et tirer les prix de vente vers le bas. Des méthodes qui ne sont pas sans rappeler le hard-discount. D’ailleurs, en 1979, Trader Joe’s a tapé dans l’œil d’un certain Theo Albrecht. Au point que le cofondateur du groupe Aldi a racheté le distributeur américain, qui appartient toujours au holding familial. Aldi et Trader Joe’s sont – a priori – aux antipodes : Aldi se distingue par un modèle ultra-épuré et austère, alors que l’américain se veut décalé et coloré. Mais sur un plan commercial, les méthodes sont assez similaires. Si les synergies restent assez faibles, la marque Trader’s Joe a tout de même été importée en Europe, ou elle sert de MDD sur des catégories de produits vendues chez Aldi, comme les cacahuètes et certains produits apéritifs en France. La culture du secret d’Aldi a rejailli sur la chaîne, sur laquelle peu d’éléments sont publics. En 2010, le magazine Fortune estimait les ventes à 1 750 $ par pied carré, soit plus du double de Whole Foods. En tant que compagnie privée, le distributeur ne publie pas son chiffre d’affaires, qui était estimé à 8 Mrds $ par les analystes… il y a six ans. Depuis, l’enseigne a continué à grandir. Et annonce plusieurs fois par mois qu’elle va « jeter l’ancre » (ouvrir) dans de nouvelles villes, notamment Houston (Texas), Culver City (Californie) et New York.
%%HORSTEXTE:1%%
Trader Joe’s, l’étonnant cousin américain d’Aldi [En images]
Apeu de chose près, Trader’s Joe a failli remporter le titre honorifique de supermarché préféré des Américains pour la cinquième…