Dix raisons pour lesquelles Fillon peut gagner les présidentielles

Mon propos n’est pas celui d’un militant ni de Madame Soleil, ni d’un illusionniste! Il est dépourvu de tout euphorie: le quinquennat à venir sera quoi qu’il en soit extrêmement difficile. Non, il procède de l’analyse objective des faits. Fillon peut être le vingt-cinquième chef de l’Etat de la République française:

  1. Malgré l’effarante chasse à l’homme dont il fait l’objet, et à la suite de sa mise en examen, les sondages sont unanimes pour constater le maintien de son noyau d’électeurs potentiel, autour de 20%. Il faut y voir une sorte de miracle, compte tenu de la fureur invraisemblable du lynchage qu’il subit. « Ce qui ne tue pas rend plus fort ».  Au point où nous en sommes, rien ne pourra plus l’affecter.
  2. Les derniers scrutins dans le monde occidental sont sans appel: les résultats comportent toujours une part d’imprévisible de dernière minute: référendum Brexit, présidentielles américaines, primaires française, de droite et de gauche, élections hollandaises où la percée d’extrême droite annoncée ne s’est pas produite. A 6 semaines du premier tour des présidentielles françaises, il serait stupéfiant que les résultats soient conformes à ce qu’annoncent, aujourd’hui, les sondages…
  3. L’acharnement inouï contre lui, en pleine période pré-électorale, sans aucun précédent historique,  destructeur pour la démocratie et le libre choix des électeurs, a toutes les chances de provoquer une réaction de révolte et de Résistance de l’électorat refusant de céder au matraquage et à l’intimidation en cours.
  4. Jamais dans l’histoire de la Ve République, une personnalité politique na été élue sans le soutien d’un grand parti, même VGE, en 1974, bénéficiait du soutien du Parti républicain et d’une partie de l’UDR de Jacques Chirac.
  5. Son adversaire pour la qualification au premier tour, M. Macron, n’apporte aucune réponse aux sujets fondamentaux qui préoccupent la France, en particulier sur les questions régaliennes, terrorisme, frontières, sécurité, maîtrise de l’immigration.
  6. Fillon seul est en mesure de bénéficier d’une majorité parlementaire susceptible de relayer de lui permettre de désigner un Premier ministre, un gouvernement et d’appliquer une politique et d’éviter le chaos. Ce point est étouffé par la succession des scandales, il devrait ressortir à l’approche de l’échéance.
  7. Au fur et à mesure de l’approche du scrutin, les enjeux de fond, les préoccupations politiques et concrètes pour l’avenir de la France, de leurs enfants, doivent probablement reprendre l’ascendant sur les sentiments qui assaillent en ce moment l’électorat.
  8. La situation de son principal adversaire, M. Macron, est fragile, du fait de sa jeunesse, de son absence d’expérience, de son parcours: n’est-il pas l’ancien bras droit de M. Hollande à l’Elysée et son ancien ministre de l’Economie. Qui peut imaginer ce jeune homme télégénique parler d’égal à égal avec Mme Merkel? Pour l’instant, la mystification fonctionne sous l’effet d’une hystérie médiatique sans précédent. Avec le rapprochement de l’échéance, le mythe en sa faveur, sur lequel repose son succès devrait en toute logique se dégonfler.
  9. Les élections aux Pays-Bas ont souligné les limites des sirènes de l’extrémisme au moment de déposer son bulletin dans l’urne. Il faut espérer une semblable réaction de bon sens des électeurs français au moment fatal, et le choix d’un vote utile, à la dernière minute, par ceux qui ont pu être tentés par un vote de colère.
  10. Les résultats des sondages soulignent en ce moment le triomphe de l’idéologie dominante qui veut enfermer la France dans une monstrueuse alternative entre le « nationalisme xénophobe » et la « mondialisation béate » pour aboutir forcément à la victoire écrasante de la seconde. Nous sommes en droit d’espérer une ultime réaction  de Résistance des Français face à cette opération d’essence totalitaire.

Maxime TANDONNET

 

 

 


Lire la suite sur le blog perso de Maxime Tandonnet ...

Author: Redaction

Dix raisons pour lesquelles Fillon peut gagner les présidentielles

Mon propos n’est pas celui d’un militant ni de Madame Soleil, ni d’un illusionniste! Il est dépourvu de tout euphorie: le quinquennat à venir sera quoi qu’il en soit extrêmement difficile. Non, il procède de l’analyse objective des faits. Fillon peut être le vingt-cinquième chef de l’Etat de la République française:

  1. Malgré l’effarante chasse à l’homme dont il fait l’objet, et à la suite de sa mise en examen, les sondages sont unanimes pour constater le maintien de son noyau d’électeurs potentiel, autour de 20%. Il faut y voir une sorte de miracle, compte tenu de la fureur invraisemblable du lynchage qu’il subit. « Ce qui ne tue pas rend plus fort ».  Au point où nous en sommes, rien ne pourra plus l’affecter.
  2. Les derniers scrutins dans le monde occidental sont sans appel: les résultats comportent toujours une part d’imprévisible de dernière minute: référendum Brexit, présidentielles américaines, primaires française, de droite et de gauche, élections hollandaises où la percée d’extrême droite annoncée ne s’est pas produite. A 6 semaines du premier tour des présidentielles françaises, il serait stupéfiant que les résultats soient conformes à ce qu’annoncent, aujourd’hui, les sondages…
  3. L’acharnement inouï contre lui, en pleine période pré-électorale, sans aucun précédent historique,  destructeur pour la démocratie et le libre choix des électeurs, a toutes les chances de provoquer une réaction de révolte et de Résistance de l’électorat refusant de céder au matraquage et à l’intimidation en cours.
  4. Jamais dans l’histoire de la Ve République, une personnalité politique na été élue sans le soutien d’un grand parti, même VGE, en 1974, bénéficiait du soutien du Parti républicain et d’une partie de l’UDR de Jacques Chirac.
  5. Son adversaire pour la qualification au premier tour, M. Macron, n’apporte aucune réponse aux sujets fondamentaux qui préoccupent la France, en particulier sur les questions régaliennes, terrorisme, frontières, sécurité, maîtrise de l’immigration.
  6. Fillon seul est en mesure de bénéficier d’une majorité parlementaire susceptible de relayer de lui permettre de désigner un Premier ministre, un gouvernement et d’appliquer une politique et d’éviter le chaos. Ce point est étouffé par la succession des scandales, il devrait ressortir à l’approche de l’échéance.
  7. Au fur et à mesure de l’approche du scrutin, les enjeux de fond, les préoccupations politiques et concrètes pour l’avenir de la France, de leurs enfants, doivent probablement reprendre l’ascendant sur les sentiments qui assaillent en ce moment l’électorat.
  8. La situation de son principal adversaire, M. Macron, est fragile, du fait de sa jeunesse, de son absence d’expérience, de son parcours: n’est-il pas l’ancien bras droit de M. Hollande à l’Elysée et son ancien ministre de l’Economie. Qui peut imaginer ce jeune homme télégénique parler d’égal à égal avec Mme Merkel? Pour l’instant, la mystification fonctionne sous l’effet d’une hystérie médiatique sans précédent. Avec le rapprochement de l’échéance, le mythe en sa faveur, sur lequel repose son succès devrait en toute logique se dégonfler.
  9. Les élections aux Pays-Bas ont souligné les limites des sirènes de l’extrémisme au moment de déposer son bulletin dans l’urne. Il faut espérer une semblable réaction de bon sens des électeurs français au moment fatal, et le choix d’un vote utile, à la dernière minute, par ceux qui ont pu être tentés par un vote de colère.
  10. Les résultats des sondages soulignent en ce moment le triomphe de l’idéologie dominante qui veut enfermer la France dans une monstrueuse alternative entre le « nationalisme xénophobe » et la « mondialisation béate » pour aboutir forcément à la victoire écrasante de la seconde. Nous sommes en droit d’espérer une ultime réaction  de Résistance des Français face à cette opération d’essence totalitaire.

Maxime TANDONNET

 

 

 


Lire la suite sur le blog perso de Maxime Tandonnet ...

Author: Redaction

Dix raisons pour lesquelles Fillon peut gagner les présidentielles

Mon propos n’est pas celui d’un militant ni de Madame Soleil, ni d’un illusionniste! Il est dépourvu de tout euphorie: le quinquennat à venir sera quoi qu’il en soit extrêmement difficile. Non, il procède de l’analyse objective des faits. Fillon peut être le vingt-cinquième chef de l’Etat de la République française:

  1. Malgré l’effarante chasse à l’homme dont il fait l’objet, et à la suite de sa mise en examen, les sondages sont unanimes pour constater le maintien de son noyau d’électeurs potentiel, autour de 20%. Il faut y voir une sorte de miracle, compte tenu de la fureur invraisemblable du lynchage qu’il subit. « Ce qui ne tue pas rend plus fort ».  Au point où nous en sommes, rien ne pourra plus l’affecter.
  2. Les derniers scrutins dans le monde occidental sont sans appel: les résultats comportent toujours une part d’imprévisible de dernière minute: référendum Brexit, présidentielles américaines, primaires française, de droite et de gauche, élections hollandaises où la percée d’extrême droite annoncée ne s’est pas produite. A 6 semaines du premier tour des présidentielles françaises, il serait stupéfiant que les résultats soient conformes à ce qu’annoncent, aujourd’hui, les sondages…
  3. L’acharnement inouï contre lui, en pleine période pré-électorale, sans aucun précédent historique,  destructeur pour la démocratie et le libre choix des électeurs, a toutes les chances de provoquer une réaction de révolte et de Résistance de l’électorat refusant de céder au matraquage et à l’intimidation en cours.
  4. Jamais dans l’histoire de la Ve République, une personnalité politique na été élue sans le soutien d’un grand parti, même VGE, en 1974, bénéficiait du soutien du Parti républicain et d’une partie de l’UDR de Jacques Chirac.
  5. Son adversaire pour la qualification au premier tour, M. Macron, n’apporte aucune réponse aux sujets fondamentaux qui préoccupent la France, en particulier sur les questions régaliennes, terrorisme, frontières, sécurité, maîtrise de l’immigration.
  6. Fillon seul est en mesure de bénéficier d’une majorité parlementaire susceptible de relayer de lui permettre de désigner un Premier ministre, un gouvernement et d’appliquer une politique et d’éviter le chaos. Ce point est étouffé par la succession des scandales, il devrait ressortir à l’approche de l’échéance.
  7. Au fur et à mesure de l’approche du scrutin, les enjeux de fond, les préoccupations politiques et concrètes pour l’avenir de la France, de leurs enfants, doivent probablement reprendre l’ascendant sur les sentiments qui assaillent en ce moment l’électorat.
  8. La situation de son principal adversaire, M. Macron, est fragile, du fait de sa jeunesse, de son absence d’expérience, de son parcours: n’est-il pas l’ancien bras droit de M. Hollande à l’Elysée et son ancien ministre de l’Economie. Qui peut imaginer ce jeune homme télégénique parler d’égal à égal avec Mme Merkel? Pour l’instant, la mystification fonctionne sous l’effet d’une hystérie médiatique sans précédent. Avec le rapprochement de l’échéance, le mythe en sa faveur, sur lequel repose son succès devrait en toute logique se dégonfler.
  9. Les élections aux Pays-Bas ont souligné les limites des sirènes de l’extrémisme au moment de déposer son bulletin dans l’urne. Il faut espérer une semblable réaction de bon sens des électeurs français au moment fatal, et le choix d’un vote utile, à la dernière minute, par ceux qui ont pu être tentés par un vote de colère.
  10. Les résultats des sondages soulignent en ce moment le triomphe de l’idéologie dominante qui veut enfermer la France dans une monstrueuse alternative entre le « nationalisme xénophobe » et la « mondialisation béate » pour aboutir forcément à la victoire écrasante de la seconde. Nous sommes en droit d’espérer une ultime réaction  de Résistance des Français face à cette opération d’essence totalitaire.

Maxime TANDONNET

 

 

 


Lire la suite sur le blog perso de Maxime Tandonnet ...

Author: Redaction