Aide au séjour des clandestins : le Conseil Constitutionnel porte un mauvais coup à l’assimilation et à la démocratie

En décidant arbitrairement que certains délits pourraient relever par idéologie de la noble devise de la fraternité, le Conseil constitutionnel vient de faire à nouveau un choix politique qui engage l’avenir de notre nation. Les relais des passeurs sur le territoire national  ne seront donc plus inquiétés pour autant qu’ils agissent bénévolement. Ainsi, le fait d’être complice d’un délit, le séjour irrégulier sur notre territoire, ne sera pas sanctionné. La lutte contre la submersion migratoire va donc être rendue encore plus compliquée.

Dans quelle démocratie vivons-nous quand la question centrale de notre identité nationale est entre les mains de juges non élus et désignés par ceux qui nous gouvernement sans aucun contrôle démocratique ? En 1978, un arrêt du Conseil d’État avait annulé une décision de Raymond Barre de suspendre le regroupement familial institué par Chirac. Pour atteindre son objectif politique, le Conseil d’État avait décidé  tout aussi arbitrairement que le droit de faire venir sa famille pour un étranger était un principe de droit qui s’imposait au gouvernement. Le résultat est connu : vagues migratoires en continu depuis 40 ans, fin de l’assimilation, échec de l’intégration et partition du territoire.

Il faut mettre fin à ce système de gouvernent des juges qui prive le peuple souverain de l’exercice de sa souveraineté.

Debout la France appelle  à signer la pétition  pour un référendum sur l’immigration proposé par Nicolas Dupont-Aignan à tous les Français et à toutes les forces politiques.

Nadia Remy
Déléguée Nationale à l'Assimilation Républicaine
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Author: Redaction